Mode d’emploi du site

MéCANIQUE DE L’ANTHROPOLOGIE DU MONsTRE

TROIS GRANDS BLOCS pour provincialiser l’Europe.

  • outils intellectuels : ressources (auteurs, oeuvres, concepts, articles, …)
  • terrains : méthodes (sensible, classique, décoloniale, sans doute davantage que post-coloniale intersectionnelle, …)
  • retranscriptions graphiques : bandes dessinées (hors-je, paroles des « acteurs », faits historiques structurants et/ou révélateurs, symbolisation, « vulgarisation »…)

La prolifération de pages et la construction du site en rhizome tente de vous plongez dans le trouble d’une pensée en cours sur les ruines du capitalisme.

figures folles

What else ?

A quoi sert l’anthropologie concrètement? (pour lutter contre la pollution). Comme science sociale, la discipline participe à la compréhension des êtres vivants, humains (« anthros,) et à ce titre, elle observe des pratiques, en rend compte, parfois en vue de les modifier, à priori pour un mieux vivre ensemble. Comprendre la conduite dangereuse des jeunes pour réduire le taux de mortalité sur les routes, par exemple. Comprendre les différentes relations aux déchets pour améliorer le recyclage et les relations entre êtres vivants aux cosmovisions, visions de la Terre, différentes.

A travers l’anthropologie, les sociétés occidentales ont produit un savoir sur les autres mondes que nous nous sommes habitués à nommer « cultures » (Meziane, 2023). Cette production est sur l’Autre, exofuge soit extra-européen (peuples et ethnies lointaines, « sauvages ») ou centrifuge soit intra-européen (pauvre, marginal, femme battue, excisée, sous emprise, immigrant, masculiniste, …), et encore et toujours largement extractiviste. La méthode décoloniale métaphysique située devient donc un « plan » de travail avec ses jalons : Louise Michel en Kanakie (immersion, apprentissage de la langue, sympathie), Mauss dans les tranchées (corps-instrument de mesure), Fanon en France (oppression (raciste, classiste, sexiste) vue comme une névrose, Chakrabarty en Inde bourgeoise (dé-historiciser),…

Mercedes Dekeyser

ethnographie

L’hybridation des savoirs, décuplée depuis la numérisation de la Terre, avec les acteurs du terrain, en synergie avec les partenaires. A partir des rencontres, et sur base des informations recueillies, des projets peuvent naître qui nécessitent la collaboration entre différentes instances (politique, scientifique, coutumière, citoyenne,…

anthropo-archéologie

L’hybridation des savoirs : passé = présent = prospection (IA), étude des archives, des artefacts, des objets provenant des sites archéologiques, des souvenirs, des incinsciences, névroses, rites, cosmovisions passées, présentes, Re-placer dans un contexte universel et micro-local, invariants et variables, social avec les événements historiques rapportés par la tradition écrite (et orale). élargir les possibles. Domaine, discipline en constante mutation depuis les progrès techniques, dont génétique.

résilience, empouvoirement

Polyvalence et ingéniosité.

Copywriter

Biographie (princesse russe, Alexandre Marius Jacob, Louise Michel, Arthur Roques,…), récits historiques (Charles Plisnier, anarchisme entre 1854 et 1936), articles scientifiques, headline, … ALL SUBJECTS, Total discrétion (of course), Traductions, études d’Archives,…

CONTACT

Débunker

Des expériences sensorielles, -désirée, mémorable, accidentelle, in & volontaire, traumatiques (rencontres, actions, événements,…)-, révélatrices, données pertinentes d’un état d’un monde s’expriment au travers de clichés d’un espace/temps/gens très tangeant en cette ère anthropocène aux conduites addictives nécrophages : extractivisme, consumérisme, « humain combustible » (Cikuru, 2023), pollution des airs, mers, corps et âmes,…

Comment comprendre la métamorphose des liens à travers les relations entre humains face aux déchets, entre humains et déchets, et l’environnement, la faune, la flore, l’air, la mer, la plage, depuis 1502, dans les Caraïbes et en Europe grâce aux archives en va-et-vient avec le terrain ?

Les Plasticiens de surface
Les plasticiens de surface, 2004* Les Plasticiens de surface est un collectif né dans les années 2000 et qui s’est auto-employé à penser la ville et la raconter avec des dazibaos urbains grâce à des financements publics ((c)micro productions