Le chapitre « Arthur Roques » raconte la jeunesse du personnage « Arthur roques », dont on ne sait pratiquement rien. Un acte de naissance à Montpellier qui témoigne d’un abandon, une enfance comme mousse extraite d’une audience et puis, très vite, une … deux … trois … condamnations…
La voix off du chapitre est extraite des « Mémoires » de Louise Michel. Il fallait bien combler l’absence d’informations sur Arthur Roques, sa vie étant réduite à quelques faits et dates. Cependant, la chance va me sourire ! Un jour, grâce aux réseaux sociaux (et à une ténacité certaine), je retrouve le petit fils d’Arthur Roques, comparse un temps de la bande des Travailleurs de la Nuit… que je rencontre à Aix-en-Provence, pas loin de Montpellier donc, et une biographie d’Arthur Roques plus dense émerge, et quelques photographies. Bref de contexte. Il était une fois, en 1852, et c’est Louise Michel qui parle …
Tandis que Arthur Roques grandit dans un orphelinat, et que les années passent, les autres membres des Travailleurs de la Nuit vont naître et grandir, à leur tour, tandis que le 19e siècle avance, doucement, vers La Commune de Paris …
L’image de Louise Michel enseignante est tirée d’une image d’Épinal qui retraçait la vie de Louise Michel en quelques cases
Pour suivre de La Commune de Paris à Les oranges espagnoles de Marius jacob en 1936, trouvez-moi un dessinateur !
C’était le premier chapitre des « Travailleurs de la Nuit ». Le dernier, la dernière journée de Marius, est disponible ici.
Anthropologie du Monstre 