Catégorie : Non classé

  • Extension du domaine de la butte : mai 2025

    2025

    2024

    2023

    resiilente, 2023

    2025

    Extension du domaine de la butte => la buse de béton ou la fin abrupte d’une hypothèse de thèse qui s’achève sur de l’inattendu, et de l’inespéré quant aux rebondissements analytiques de cette structure désormais mi-végétale, moi-béton.

    érosion

  • érosion

    Mai 2025. Marée basse. On aperçoit les racines des végétaux durement éprouvés par les vagues. La photographie de droite, plan large du même endroit, montre l’ancien grillage, vidés de ses pierres,

    Plage Bluff, 2025

    érosion et amalgames : arbre, tissu noir épais, grillage & pierres, éléments épars du mur anti-érosion … érodé. On s’aperçoit que l’arbre est rongé du côté de la mer. Et sans doute risque-t-il de terminer comme ça :

  • Fragmentations

    Mur, route, piste cyclable, urbanisation, gentrification, privatisation, fils électriques, sont quelques symptômes de l’urbanisation rapide de l’île de Colon, archipel de Bocas del Toro

    Le quartier de La Ygriega est symptomatique de cette urbanisation rapide qui fragmente le paysage de Bocas, et coupe littéralement, la terre, de la plage et de la mer.

    La Ygriega est situé au carrefour de la route qui longe l’île, et de celle qui la traverse, en direction de la plage de Bocas del Toro.

    2023

    2024

    Des barbelés sur la Jungle

    2025

    Murs

    piste cyclable

  • Chiquita

    Bocanera par intermittence depuis 2023, j’assiste à deux soulèvements populaires panaméens, en automne 2023 et au printemps 2025.

    Chiquita, anciennement l’United Fruit Company, a joué un rôle majeur dans l’histoire de Bocas del Toro, une région cruciale pour la production bananière au Panama. Arrivée dans la région en 1896, Chiquita a profondément marqué le développement de la zone, notamment avec la construction d’infrastructures et la création de communautés. 

    Le « tourisme de plantation » (Le Masne, 2019)

    Chiquita, anciennement l’United Fruit Company, a joué un rôle majeur dans l’histoire de Bocas del Toro, une région cruciale pour la production bananière au Panama. Arrivée dans la région en 1896, Chiquita a profondément marqué le développement de la zone, notamment par la construction d’infrastructures et la création de communautés. Ce passé colonial et agro-industriel continue d’imprégner les paysages, les récits et les pratiques culturelles locales. Le déchet. Par qui ? Pour qui ? Pourquoi ?

    Dans ce contexte, le déchet devient plus qu’un simple résidu : il agit comme un révélateur des dynamiques coloniales et postcoloniales, une trace active des histoires d’exploitation. Il matérialise les excès d’un système extractiviste et globalisé, tout en incarnant une certaine mémoire des lieux. Ce résidu n’est pas neutre : il mobilise les affects, cristallise les conflits, inspire de nouvelles formes de relation, et sert de pré-texte à des processus de résilience et de résistance post-coloniale.

    Barrage à Bocas Del Toro.9 mai 2025, Interview d’un paysan en grève ici

    Le colonisé, dans ce cadre, est un être à la marge — un rebut, un reste, un surplus. Le monde colonial est un monde compartimenté (Fanon, 1961), où la hiérarchisation des vies se matérialise jusque dans la gestion des corps, des terres et des déchets. L’ethnographie que je mène part justement de cette périphérie : je suis littéralement le déchet. C’est en suivant ses circulations, ses formes, ses discours et ses usages que se dévoilent les relations de pouvoir, les inégalités persistantes, mais aussi les marges de manœuvre, d’invention et de contestation.

    Le déchet bloque, le déchet filtre. Il extrait l’extractivisme d’une zone

    jusqu’ici

    Le déchet, doué d’agentivité, devient alors une figure centrale : il agit, affecte, transforme. Il n’est pas seulement l’empreinte du passé mais l’agent d’un présent en recomposition. Il permet d’activer une pensée autre, de produire des formes d’adaptation aux dérèglements socio-économiques et environnementaux. Cette capacité d’adaptation par l’imagination n’est pas nouvelle : c’est un vieux classique des modes révolutionnaires, une stratégie de survie et de subversion qui s’appuie sur le détournement, le bricolage, la réappropriation.

    En somme, le « tourisme de plantation » ne se contente pas de mettre en scène un passé exotisé : il rejoue, souvent inconsciemment, les logiques coloniales de valorisation de certains récits au détriment d’autres. Penser le déchet comme révélateur, c’est se donner les moyens de lire ces contradictions, de voir comment la mémoire et la matière s’entrelacent pour produire des mondes encore en lutte.

    à Santiago, au Panama … ci-dessus

    à Bruxelles, au coeur de l’Europe, contre le MercoSur et l’abattage systématique des cheptels en cas de suspicion de zoonose éventuelle. décembre 2025. ci-dessus

    ici le pneu Post-colonial

    ou hybride

  • Bocas en action

    Los tanques. Les barrages. Porque ?

    Deux témoignages qui se répètent.

    • Il est temps de changement profond, à la racine du mal
    • Seule Bocas va sauver Bocas
    • La crise est une opportunité
  • Memorias de Bocas Town

    Prologue => 1e génération, + Miskitos + religion (1-6)

    Les pionniers en qq noms en 1887 :

    • John et Piter Piterson (1827)
    • Los senores Bent (1828) …. leurs famille et esclaves
    • +=> Criollos, metodistas
    • Los hermanos Shephers // Shepherd, Samuel, Julian, Peter
    • Los Knapp
    • Los Humphries

    1740 : les Miskitos (venus du Nicaragua et résistants traditionnels aux colons) et la couronne britannique signent un traité de paix et d’aillante formelle qui place la reine des Miskitos en situation de protectorat. Le 24 janvier 1839, le roi Miskito Robert Charles Frederick cède aux frères Samuel et Peter Shepherd des territoires dont l »île de Bocas del Toro. Quelques années plus tard, le roi R.Ch. Frederick reprend possession de Bocas del Toro avec l’intention de réaffirmer sa souveraineté sur la région , avec l’appui d cela frelate anglaise Tween.

    1849 => Bocas est rattaché au Panama

    quelques familles

    Shephers/erd : Shephers/erd :
    Piterson

    John + Peter

    Samuel E. Browne missionaire
    Piterson
    John + Peter
    Brown, Daniel + Tadeo
    1827 => « Criollos » = descendants
    Samuel E. Browne missionnaire

    Hijo de la guerra O la Conversion de miss Price (7-

  • Hola, si jamais vous voulez voyager et découvrir Bocas de…

    Hola, si jamais vous voulez voyager et découvrir Bocas del Toro, invitez-vous !