Le suffixe (provisoire) -cide recouvre toutes les violences traumatiques à l’encontre du Vivant, qu’elles amènent à la mort physique et/ou psychiques -mort du moi, violences qui se traduisent par une adaptation résilience à un « nouveau moi ».
-cide signifie donc assassiner.
TOXIQUE => Totox est un néologisme né sur les réseaux sociaux
wikipedia : La toxicité est la mesure de la capacité d’une substance chimique, radionucléide, molécule organique, etc. à provoquer des effets néfastes et mauvais pour la santé ou la survie chez toute forme de vie, qu’il s’agisse de la vitalité de l’entité ou d’une de ses parties.
Étymologie du code versus care
Du latin -cida[1], de caedo (« frapper, tuer »).
Suffixe
-cide \sid\ masculin et féminin identiques
Si le -cide n’est pas létal, le traumatisme s’inscrit dans les gènes et modifie (et peut détériorer) la personne, dans ses relations à soi (l’enfant intérieur), aux autres et au monde, à vie. D’où le terme provisoire d’infanticide moral, comme celui de féminicide moral, quand la victime reste vivante. L’agresseur use de sa victime comme d’une chose, il tient sa vie entre ses mains, va se donner le pouvoir de la détériorer à l’envi, quand l’envie lui prend. Ici, l’envie serait, une psychose, obsessions, psychopathie,…
Qui tue ou détruit ce que la racine désigne. Qui tue un ou des humains du groupe désigné par la racine. Qui blesse, qui fait violence à ce que la racine désigne.
En France. En 2015, 7 personnes ont été condamnées pour homicides sur mineur de moins de 15 ans selon les chiffres du ministère de la justice. En 2012, 12 majeurs ont été condamnés pour ces faits. Mais ce chiffre comporte plusieurs limites: premièrement, il ne prend pas en compte les cas d’assassinat**** ou de violences ayant entraîné la mort. Source : https://www.liberation.fr/checknews/2018/06/15/combien-y-a-t-il-d-infanticides-par-an_1659098/ **** assassinat ayant entraîné la mort … les anthropologues détestent « toujours » et « jamais », « de toute les temps », mais en général, oui, l’assassinat entraîne la mort…
=> Il ne prend pas en compte non plus les cas où la personne est détruite psychiquement, dont la cause peut être un viol, une torture, une blessure à l’acide, une agression, une calomnie,…
Belgique
« 70 plaintes par jour pour menaces par un (ex-) conjoint »
25.000 cas de harcèlement
25 féminicides au moins (ne compte « que » les assassinats)