Fragilité blanche : ce racisme que les Blancs ne voient pas est un essai de la sociologue américaine Robin DiAngelo, publié en 2018 et traduit en français en 2020. Dans cet ouvrage, DiAngelo introduit le concept de « fragilité blanche » pour décrire les réactions défensives que les personnes blanches manifestent souvent lorsqu’elles sont confrontées à des discussions sur le racisme. Ces réactions, qui peuvent inclure le silence, la colère ou le déni, visent à protéger leur statut et à perpétuer l’inégalité raciale.
DiAngelo explore comment les Blancs ont été socialisés pour ne pas reconnaître leur propre identité raciale et les privilèges qui en découlent. Elle explique que cette socialisation s’est produite à travers les idéologies occidentales de l’individualisme et de l’objectivité, qui empêchent une prise de conscience critique des dynamiques raciales.
L’auteure souligne également que le racisme n’est pas simplement une question de préjugés individuels, mais qu’il est enraciné dans des systèmes politiques, économiques et sociaux qui favorisent la suprématie blanche. Elle appelle les Blancs à reconnaître leur participation à ces systèmes et à s’engager activement dans la lutte contre le racisme en adoptant une posture d’humilité et de vigilance.
En somme, « Fragilité blanche » invite les lecteurs blancs à examiner leurs propres attitudes et comportements afin de contribuer à une société plus équitable et antiraciste. « Peau blanche masques noirs » est un article qui développe, à partir d’exemples puisées dans les commentaires sur les réseaux sociaux, cette fragilité blanche.
Ce racisme que les Blancs ne voient pas, cette fragilité blanche surtout masculine a fabriqué des sobriquets, tel :
Ouin Ouin : le Ouin Ouin sur la toile est une formule pour répondre à une personne qui se plaint qu’ »on ne peut plus rien dire », que « not all men », …
La « fragilité blanche masculine » a fabriqué des images pour expliquer des concepts ou des formules comme « not all men », tel :
TENDANCE
Il me semble observer, dans la vie réelle et sur les réseaux sociaux, une avancée décoloniale et dégenrée plus remarquable chez les Non-blancs.
- Coming out public de Kemi Sea par rapport aux VS subies enfant => protection ds enfants et dénonciation de la pédocriminalité… ce qui ne fait pas de l’activiste un féministe pour autant …
- Threads et vidéos de conscientisation
- …
Face aux toxiques, aux agresseurs, manipulateurs … dans la vie de tous les jours, les mécanismes d’emprise sont intelligibilisés par la littérature scientifique, de psychologie, de sociologie ou d’anthropologie dans des livres. Comment ses idées, concepts, mécanismes « passent-ils » dans la vraie vie des « petites » gens ? Est-ce qu’il existe un pont, un lien entre le savoir scientifique et le savoir populaire tel qu’on le retrouve sur les réseaux sociaux ?
Les videos populaires d’éducation sont virales :
exemples ici à importer, screugneugeu !
En mars 2025 apparaît une nouvelle expression : « totox ». Ce sont de jeunes filles qui décrivent les comportements toxiques,, avec de exemples clairs, démontent les mécanismes, etc. ce qui est vraiment magique, c’est comment ce nouveau terme, ce diminutif diminue la puissance de l’agresseur. De toxique, dangereux, il est devenu un ptit totox aux attitudes répétitives et donc prévisibles.